Je n’avais jamais ôté mon chapeau Devant personne Maintenant je rampe et je fait le beau Quand elle me sonne J’étais chien méchant, elle me fait manger Dans sa menotte J’avais des dents d’loup, je les ai changées Pour des quenottesJe m’suis fait tout petit devant une poupée Qui ferme les yeux quand on la couche Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui fait Maman quand on la touche J’était dur à cuire, elle m’a converti La fine bouche Et je suis tombé tout chaud, tout rôti Contre sa bouche Qui a des dents de lait quand elle sourit Quand elle chante Et des dents de loup quand elle est furie Qu’elle est méchante Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui ferme les yeux quand on la couche Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui fait Maman quand on la touche Je subis sa loi, je file tout doux Sous son empire Bien qu’elle soit jalouse au-delà de tout Et même pire Une jolie pervenche qui m’avait paru Plus jolie qu’elle Une jolie pervenche un jour en mourut A coup d’ombrelle Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui ferme les yeux quand on la couche Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui fait Maman quand on la touche Tous les somnambules, tous les mages m’ont Dit sans malice Qu’en ses bras en croix, je subirais mon Dernier supplice Il en est de pires, il en est d’meilleures Mais à tout prendre Qu’on se pende ici, qu’on se pende ailleurs S’il faut se pendre Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui ferme les yeux quand on la couche Je m’suis fait tout petit devant une poupée Qui fait Maman quand on la touche
By the rivers of Babylon, there we sat down Ye-eah we wept, when we remembered Zion. By the rivers of Babylon, there we sat down Ye-eah we wept, when we remembered Zion. When the wicked Carried us away in captivity Required from us a song Now how shall we sing the lord’s song in a strange land When the wicked Carried us away in captivity Requiering of us a song Now how shall we sing the lord’s song in a strange land Let the words of our mouth and the meditations of our heart Be acceptable in thy sight here tonight Let the words of our mouth and the meditation of our hearts Be acceptable in thy sight here tonight By the rivers of Babylon, there we sat down Ye-eah we wept, when we remembered Zion. By the rivers of Babylon, there we sat down Ye-eah we wept, when we remembered Zion. By the rivers of Babylon (dark tears of Babylon) There we sat down (You got to sing a song) Ye-eah we wept, (Sing a song of love) When we remember Zion. (Yeah yeah yeah yeah yeah) By the rivers of Babylon (Rough bits of Babylon) There we sat down (You hear the people cry) Ye-eah we wept, (They need that???) When we remember Zion. (Ooh, have the power)
Songwriters: Brent Dowe, Frank Farian, George Reyam, Trevor McNaughton
Face à la crête enneigée, face aux ravins, aux falaises blanches Je vois à présent tes yeux, ou leur évocation, ou bien peut être La courbe de tes lèvres, ou la douceur de ton cou, enfin Je vois que tu es là Bienveillance.
Ô toi la Vie Plus d’un oiseau siffle ton image ; A toi la Vie L’homme a donné corps en ton sillage… File ta laine à travers ma peau Chasse ma haine et mon ennui ! Souffle la honte aux poils des roseaux Pour qu’elle devienne rosée… après la nuit ! De toi la Vie Plus d’un poisson me frétille le charme, Pour toi la Vie, Le chant de la source monte une gamme. Une mousse légère orne les naseaux D’un cheval en sabots d’argent ; Folle crinière déguise un manteau Où vient se mirer… le soleil levant… Ô toi la Vie, Plus d’un goéland vole ton âme, Pour toi la Vie, La mer a su aiguiser ses lames… Et de Calcutta à Nairobi, Les mercenaires usent leurs voiles, Comme l’oiseau construit son nid Une araignée tisse… une toile… Ô toi la Vie, Plus d’un oiseau siffle ton image, A toi la vie, L’homme a donné corps en ton sillage…De lumière en lumière, Je chante un paradis Qui me brûle les yeux, je vais brouter les cieux Jusqu’à l’infini ! Quelle vie ! Fleur de Paradis (j’en ferai un bouquet) Elle invite les coeurs à éponger les pleurs Jusqu’à l’infini ! De lumière en lumière, Je chante un paradis Qui me brûle les yeux, je vais brouter les cieux Jusqu’à l’infini ! Quelle vie ! Fleur de Paradis (je deviens bilboquet) Elle invite les coeurs à éponger les pleurs Jusqu’à l’infini ! Je suis FOU ! Fou d’une autre vie Qui me brûle les yeux, je vais brouter les cieux ! JE BOIS L’INFINI !!!Quelle vie ! Fleur de Paradis ! Quelle vie ! Fleur de Paradis ! JE SUIS FOU !!! FOU D’UNE AUTRE VIE !!!